jeudi 18 mars 2010

Le jeudi 18 mars, aéroport de Dubai.

Tout est bien qui finit bien. Des contrôles rigoureux, mais enfin me voilà dans la section Duty free. Impressionnant. Encore. Immense, remplis d’objets pour tous les goûts, du plus commercial aux plus luxueux. Pourtant, j’ai cette fois l’impression que les prix sont plus avantageux qu’à Paris, où je transite régulièrement (y a vraiment pas d’avantage économique de ce côté, même pas pour les vins) ou qu’à Montréal. J’achète encore quelques trucs, ne serait-ce que pour écouler mes derniers dihrams.

Dernière observation : la passion pour la Formule 1 et tout particulièrement pour la Ferrari. Il y a un module d’exposition commandité par Marlboro (surprise!) avec la reproduction d’un bolide en format réel, des accessoires et des écrans diffusant les exploits de la célèbre écurie. Il y a des panneaux de la marque de cigarettes partout, toujours en association avec la voiture rouge, mais il y a plus encore : dans le magasin d’alcool et de tabac hors-taxe, il y a une section consacrée à une Marlboro spéciale, avec paquets aux couleurs de la Ferrari, avec un design adapté. C’est ce qu’on appelle de l’intégration totale.

Bon! On part en retard de Dubai. J'espère ne pas avoir de problème avec la correspondance à Paris... Hey! C’est la première fois que j’ai accès au Wifi dans un avion… mais l’hôtesse me demande de fermer l’ordi. Pause.

C’est parti. Décollage réussi, juste à côté de la ville. On voit le secteur du Vieux-Dubai, mais aussi le quartier financier et sa tour prestigieuse, le Burj Kahlifa. Bien voilà, je suis à sa hauteur, bien installé dans mon siège, sans avoir à payer les 400 dirhams pour son ascension. De toute façon, on m’a dit que c’était inaccessible en ce moment. Et j’ai une bien plus belle vue périphérique de tous les environs!

Ce qui m’étonne d’ailleurs, c’est le nombre de bateaux dans le détroit d’Ormuz que nous survolons. Et ces îles sablonneuses, désertiques, dorées, mais inhospitalières. Nous voilà déjà en Iran, le long du Golfe persique. Puis la Turquie, la Roumanie… j’écoute Ghandi avec Ben Kingsley. Un grand rôle. Un grand et long film oscarisé! Je n’étais pas loin des Indes après tout!

Finalement j’arrive à Paris à temps. Le bagage suivra-t-il? Eh oui! Me voilà de retour à Montréal, avec tous mes morceaux. J'espère que ce récit de voyage vous a plu... Vos commentaires sont bienvenus. À la prochaine... peut-être en Côte d'Ivoire, à Abidjan, en avril prochain.

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